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Un stage en Chine - Expatriation | Blog voyage Odyseo
Stage en Chine SEO et expatriation
Chine

Le commencement : un stage en Chine

[box type= »shadow »] NB : Cet article a été écrit et publié pour la première fois en mars 2011 sur notre ancien blog www.un-voyage-en-chine.com, qui allait devenir plus tard www.voyage-chine.com avant d’être racheté par une agence de voyage chinoise… Pardonnez donc le style qui laisse sans doute à désirer et les infos pas toujours super intéressantes, il s’agissait de notre premier exercice de style et nous avions à coeur de le republier ici car il s’agissait du point de départ de notre vie d’expat en Asie !
Sur ce, bonne lecture :)[/box]

 

Mars 2011 : Avant de rentrer dans le vif du sujet et détailler notre voyage, il convient de replacer les choses dans leur contexte et détailler ce qui nous a permis de partir pour ce pays lointain.

Charlène et moi sommes actuellement étudiants en Licence Professionnelle Référenceur et Rédacteur Web à l’IUT de Mulhouse, c’est d’ailleurs là que nous nous sommes rencontrés il y a maintenant 7 mois. Sans rentrer dans les détails, cette licence permet d’acquérir diverses compétences dans des domaines émergents du web, à savoir :

– Le référencement naturel de sites web, communément appelé SEO (pour Search Engine Optimisation). Il s’agit autrement dit de faire en sorte qu’un site Internet soit le plus visible possible sur les moteurs de recherche. Pour ce faire, il existe de multiples actions à mettre en place et procédés, qu’ils soient techniques ou rédactionnels, et il est souvent nécessaire de mettre les mains dans le cambouis pour adapter le code aux moteurs de recherche afin qu’il soit le plus lisible et compréhensible possible. Notre formation passe donc par diverses composantes présentées succinctement ci-dessous :

  • L’audit de sites web, permettant de définir les actions à entreprendre et les facteurs bloquants
  • L’optimisation « in page » qui représente les mesures à mettre en œuvre pour la mise en forme du texte, que ce soit pour les lecteurs comme pour les spiders
  • L’optimisation « off page » faisant référence à la création de backlinks, essentiels pour le référencement (annuaires, communiqués de presse, flux RSS, digg-likes, commentaires de blogs, forums… les possibilités sont nombreuses et n’ont pour seule limite que l’imagination des responsables du SEO)
  • Les modifications plus techniques à apporter au site pour optimiser ses performances (htaccess, URL Rewriting, redirections, Sitemap, gestion du flash ou de l’ajax…)
  • Enfin, un bon référencement requiert un bon suivi sur le long terme, pour cela de nombreux outils existent et permettent de suivre le positionnement, le nombre et la qualité de backlinks, ou tout autre facteurs permettant d’optimiser le SEO. Pour cela, citons par exemple les solutions gratuites les plus connues : Google Analytics, Google Webmasters Tools, Yahoo Site Explorer, Xenu, Positeo, Open Site Explorer… Parmi les solutions payantes : Myposeo, Advanced Web Ranking, Ranks, Yooda SeeUrank, Majestic SEO, ou tout autre outil du site SEOMoz…

 

Le référencement payant de sites web, communément appelé SEA (pour Search Engine Advertising), qui se manifeste notamment sous la forme de campagne Adwords destinées à offrir une visibilité instantanée sur les annonces du moteur de recherche Google tant que le client est prêt à y mettre le prix. Contrairement au SEO, cette solution n’est pas pérenne et est donc à conseiller à quiconque souhaite mener des campagnes de visibilité limitées dans le temps et obtenir des résultats rapides.

– La création et la gestion de sites web, à travers les bases des langages de programmation web (HTML/CSS, PHP…) et la découverte ou l’approfondissement de CMS tels que WordPress.

– La rédaction web, qui rejoint un peu l’optimisation « in page », et qui consiste à proposer des contenus organisés, clairs et précis. En effet, on ne rédige pas sur le net comme l’on peut le faire sur le format papier, il s’agit donc de s’adapter à l’outil et essayer de capter l’attention du lecteur le mieux possible.

– Le community management, littéralement : gestion de communauté. Cette composante de la licence a pour objectif de nous enseigner la gestion de l’e-réputation des entreprises via les réseaux sociaux, les forums ou tout autre outil présent sur la toile.

– Sans oublier différents enseignements plus généraux tels que le webmarketing, ou encore le e-commerce pour ne citer qu’eux, ce qui donne au final un programme plutôt chargé mais très enrichissant, ainsi que des compétences concrètes à faire valoir sur le marché du travail.

 

A la recherche d’un stage

 

Pour parachever cette formation donc, nous avons un stage à effectuer d’une durée de 90 jours minimum, à placer entre les mois de février et juin. Charlène étant de Bretagne, et étant moi-même du Pas-de-Calais, nous avons pleinement apprécié notre court séjour en Alsace (bien que Mulhouse ne représente pas vraiment l’idée que l’on peut se faire d’une ville dynamique ou attirante), mais pas assez pour avoir envie d’y passer 4 mois supplémentaires dans le cadre de notre stage de fin d’études.

Partant de cette idée, nous nous sommes mis assez tôt en quête d’un stage à effectuer à l’étranger, dans un pays suffisamment dépaysant pour échapper à la monotonie de la France et constituer une expérience unique. Ayant encore quelques contacts à Montréal, c’est d’abord dans cette ville que j’ai cherché, avec au final une proposition de stage, malheureusement non rémunérée donc pas assez intéressante.

Puis une candidature reçue favorablement dans une agence située en Australie, encore une fois non rémunérée et qui plus est, ne pouvant prendre qu’un seul stagiaire… Arrive la fois du mois de décembre, c’est un peu dépités que nous envisageons de tenter notre chance à Paris, où beaucoup de nos candidatures se soldent par la possibilité d’un entretien, en se disant que l’on aura tout le temps de partir à l’étranger une fois diplômés…

 

La révélation

 

C’est alors qu’une offre de stage attire notre attention : Jinlong Worldwide Limited, une société Franco-Hongkongaise de trading et e-business basée à Guangzhou dans le sud de la Chine, recherche un stagiaire spécalisé en webmarketing, dans l’objectif d’améliorer la visibilité de ses sites e-commerce. Mais… mais… mais c’est pour moi ça !
Quelques jours après l’envoi de ma candidature sans trop de convictions, je reçois un appel du directeur de l’agence, intéressé par mon profil et qui s’empresse de me détailler les missions ainsi que la ville de Guangzhou. En bon commercial, il parvient à me vanter les mérites de la ville et l’expérience humaine que cela peut représenter, et me laisse quelques jours pour y réfléchir et faire un choix.

Choix difficile s’il en est, si l’on considère le budget à établir (bien que la Chine soit connue pour ses bas prix), et surtout la séparation qu’elle implique.
Nonobstant ces critères, nous décidons de tenter le tout pour le tout et d’introduire Charlène qui se charge d’envoyer son CV, et qui passe avec succès un entretien sur Skype quelques jours plus tard.

Gagné voyage Chine Mr Pringle

« Fais tes bagages, nous partons en Chine ! »


C’est donc fin janvier que nous avons eu la confirmation de notre départ pour la Chine, alors que les cours doivent se terminer une semaine plus tard… Il ne reste plus qu’à remplir les conventions de stage, faire le passeport (pour Charlène), les Visas, acheter les billets d’avion, effectuer les demandes de bourse… Ouaip, c’est le début d’une course contre la montre, que l’on espère bien évidemment remporter !

Affaire à suivre…

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